Les huit salopards

Publié le par Dominique Labourier

Les huit salopards
Les huit salopards

Autant commencer cette année de critiques par un très très grand film.

Le dernier Tarantino !

N'écoutons pas les merveilleuses interviews du Grand Quentin, avec son histoire de 70 mms,

Une salle à Paris, et quatre autres en France, dans des villes dont j'ignore l'existence, car même en numérique les paysages enneigés, eux ont de la chance, provoquent le rêve. Un rythme d'une lenteur effarante, car chacun sait qu'à un moment va naître la pire violence.

Mais cela passe, on se laisse bercer par le racisme américain, l'origine de cette nation qui s'est entredéchirée pendant des années, au nom de l'esclavagisme, prétexte à une guerre économique, par ces dialogues remarquables, ces personnages et, je ne vous en dis pas plus, allez y, c'est trop fort et trop bon.

Mais là, après l'avoir vu, ne pensez vous pas que ce garçon filme comme on ne l'a jamais vu ?

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